La semaine de 4 jours fait de plus en plus de bruit , mais elle ne date pas d'hier ! Cette innovation sociale a émergé en Europe, dans les années 90. Depuis, plusieurs pays européens l'ont testée et des sociétés de toute taille l'ont adoptée. Chez 4jours.work, nous sommes convaincus d'une chose : travailler moins, mais mieux est possible ! Vous hésitez à travailler 4 jours par semaine ? Dans cet article, nous répondons aux 6 questions principales que vous pouvez vous poser en tant que chef d'entreprise.
Question N° 1 : comment mettre en place la semaine de 4 jours ?
Vous éprouvez certainement des craintes à l'idée de mettre en œuvre la semaine de 4 jours dans votre entreprise. Et c'est bien normal ! Au fond, quelle avancée sociale ne soulève pas d'interrogations ou de doutes ? Souvenez-vous des chamboulements que la semaine de 35 heures en France avait générés, aussi bien pour les employés que pour les dirigeants !
Pour aménager le temps de travail de vos salariés, vous devrez réaliser une refonte totale :
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Repenser la manière de manager et d'organiser les équipes.
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Automatiser certaines tâches pour gagner en efficacité.
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Donner de l'autonomie à chaque collaborateur pour réduire les processus internes.
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Réattribuer ou désaffecter des missions par poste.
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Revoir certains fonctionnements, parfois liés à l'historique de l'entreprise.
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Construire une communication claire, en interne et en externe.
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définir les conditions de réussite pour mesurer objectivement l'impact de la semaine de 4 jours sur votre activité.
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Etc.
Mettre en place la semaine de quatre jours ne s'improvise pas et demande donc une certaine préparation ! Nous vous conseillons de vous faire accompagner tout au long du processus ionique. Pour vous aider dans ce sens, nous avons ouvert une formation. Vous serez alors en mesure de définir des indicateurs solides pour :
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Analysez les performances de votre entreprise.
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Comprendre les résultats obtenus pour votre entreprise.
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Évaluer l'engagement de vos salariés et leur bien-être.
🫱🏻🫲🏻Nous sommes partenaires d'emlyon business school pour la recherche académique, qui réalise une étude d'impact avant/après sur des indicateurs comme la productivité et le bien-être des salariés.
Travailler 4 jours par semaine, c'est ni plus ni moins que se réorganiser et se réinventer pour fonctionner toute l'année comme un 1er mai ! Et vous n'imaginez pas à quel point ce concept peut révolutionner la vie de vos employés et celle de votre entreprise…
💡 Le saviez-vous ? En France, les quatre jours de travail naissent en 1993, avec la loi Robien.
➡️ Êtes-vous prêt à passer à la semaine de 4 jours ? Faites le test !
Question N° 2 : combien ça coûte de travailler 4 jours par semaine ?
Lorsque l'on aborde l'idée d'ajouter un jour off, on a tendance à penser :
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On va manquer de temps pour travailler correctement.
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On va perdre en productivité et en performance.
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Le CA va diminuer et la santé économique de la société va se dégrader.
Mais il ne faut pas oublier qu'en 120 ans, nous avons divisé par 2 le temps passé en entreprise (rien que ça !) L'acquisition de 2 semaines de congés payés en 30 ans ou encore le passage aux 35 h font partie des avancées sociales les plus marquantes. Est-ce pour autant que les boîtes françaises ont péri ? Non ! Si la semaine de 4 jours ne permettait pas de s'y retrouver financièrement, croyez-nous, ça se saurait 😉.
Chez 4jours.work, on ne se demande pas « combien ça coûte ? », mais plutôt « combien ça rapporte ? » Pour la simple et bonne raison qu'adopter cette organisation du temps de travail génère un certain nombre de bénéfices pour votre entreprise ! Quelques chiffres pour illustrer nos propos :
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6 entreprises sur 10 affirment mieux retenir leurs salariés.
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Microsoft Japon a vu sa productivité augmenter de + 40 %.
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Travailler 4 jours par semaine réduit les émissions de plus de 20 %.
Nous avons d'ailleurs créé un simulateur pour vous donner un aperçu des économies que vous pourriez réaliser à partir des informations suivantes :
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le nombre d'employés dans votre structure ;
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le nombre de départs enregistré les 12 derniers mois ;
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le coût moyen d'un recrutement ;
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le salaire mensuel moyen de vos salariés ;
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le taux d'absentéisme enregistré ces 12 derniers mois.
Vous accédez ensuite à l'impact de l'absentéisme et du chiffre d'affaires sur votre entreprise. Mais également au retour sur investissement par collaborateur et par an grâce à la semaine de 4 jours.
🔢 Testez notre simulateur en ligne ! C'est gratuit 😉.
Question N° 3 : comment répartir 35 h sur 4 jours ?
Revenons sur la différence entre semaine de 4 jours et semaine en 4 jours. Ces deux termes semblent très proches, mais leur application directe dans la manière de travailler reste bien différente…
La semaine compressée en 4 jours
Derrière la notion de 4 jours de travail par semaine se cachent plusieurs options :
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Faire le même quota d'heures hebdomadaires sur 4 jours : 35 h sur 4 jours au lieu de 5 par exemple.
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Maintenir le nombre d'heures quotidiennes, avec un jour en moins par semaine : 8 heures par jour sur 4 jours.
La première idée consiste à adapter son planning de 35 h ou plus sur 4 jours. On parle alors de semaine compressée. Avec ce modèle, on travaille moins, mais plus fort ! Nous avons la certitude qu'il ne s'agit pas de la bonne solution puisqu'elle générerait davantage de fatigue et de stress chez les salariés. Elle entraînerait une perte de performance et de productivité à long terme…
💡 Yprema a essayé la semaine compressée. Après cette première expérience, les dirigeants ont finalement décidé de réduire de plusieurs heures le temps de travail hebdomadaire de leurs employés. Et ça a fonctionné !
La semaine de 4 jours, la réduction du temps de travail
À notre sens, l'avancée sociale que représente la semaine de quatre jours repose sur une valeur : travailler moins et mieux ! En réduisant le temps de travail hebdomadaire, on agit en effet sur plusieurs paramètres :
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l'équilibre personnel et la vie de famille des salariés ;
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la qualité de vie au travail ;
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la pertinence des tâches confiées et des réunions réfléchies ;
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l'amélioration de la concentration ;
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etc.
Sans pour autant mettre en péril la santé économique de son entreprise, on peut par exemple :
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Tester des semaines de 32 h avec un jour off (pas essentiellement le vendredi).
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Alterner semaines de 4 jours et semaines de 5 jours.
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Etc.
Question N° 4 : quelles répercussions positives sur ses salariés ?
La génération Z, née après 1995, voit son rapport au travail et ses attentes radicalement changer. Plus sensible à son équilibre de vie professionnelle et personnelle, elle aspire à :
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S'affranchir des contraintes.
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Trouver un sens dans ses missions.
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Recevoir la reconnaissance de sa hiérarchie.
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S'engager pour une entreprise qui partage ses valeurs.
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Travailler sur une variété de projets.
D'après un article publié par France Travail, elle représentera 30 % des actifs en 2030. Alors que certaines sociétés persistent dans le « on a toujours fait comme ça », il semble crucial de prendre en considération les besoins des salariés d'aujourd'hui et de demain !
La semaine de 4 jours permet justement d'accéder à leurs demandes puisqu'elle implique de repenser le fonctionnement global d'une entreprise :
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la manière de communiquer ;
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la gestion ;
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l'organisation des journées de travail ;
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les fiches de postes et les missions attribuées ;
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la pertinence de certaines réunions ;
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etc.
Grâce à cette refonte du temps de travail, les salariés gagnent en qualité de vie :
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amélioration du sommeil ;
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augmentation de la concentration ;
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pratique d'une activité physique possible les jours libres ;
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déconnexion et repos ;
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équilibre de vie personnelle et professionnelle ;
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autonomie ;
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force de proposition et implication ;
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engagement et adhésion aux valeurs de l'entreprise.
Grâce à la semaine de 32 h, vous boostez votre attractivité auprès des jeunes (63 % de + selon les entreprises qui ont testé ce format) et en compétitivité. Vous agissez finalement sur plusieurs facteurs :
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Facilité de recrutement : + 83 %.
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Hausse de productivité constatée, jusqu'à + 35 %.
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Diminution du chiffre d'affaires.
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Rétention facilitée avec une baisse de - 42 % des démissions.
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Réduction des risques de burn-out : - 68 %.
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Diminution de l'absentéisme : - 65 %.
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Etc.
En tant que dirigeant, votre mission reste à notre sens d'anticiper et de planifier l'avenir. Se réinventer pour préparer l'arrivée de la nouvelle génération, voilà donc votre plus grand défi !
Question N° 5 : y a-t-il des risques pour une entreprise à passer à la semaine de 4 jours ?
94% des entreprises ayant suivi la formation poursuivent en semaine de 4 jours. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, nous sommes persuadés que toutes vos équipes doivent être mobilisées lors de la phase de test.
Si certains employés ou cadres ne sont pas inclus au projet, vous risquez de créer un sentiment d'iniquité. De plus, vous allez à l'encontre des prérequis aux 4 jours de travail : repenser ensemble l'organisation et la communication de l'entreprise dans sa globalité, avec ses contraintes et ses défis.
💡 Seuls 6 % des entreprises qui le testent n'adoptent pas ce nouveau fonctionnement. Parmi les principaux facteurs, on retrouve un changement de directeur, un rachat ou des soucis organisationnels.
N'oubliez pas de communiquer clairement avec vos clients et avec vos fournisseurs sur votre projet d'aménagement du temps de travail ! Ils apprécieront votre transparence et votre capacité à vous réinventer. Ils pourraient même vous demander votre retour d'expérience, ce qui renforcera votre relation !
Pour faire 32 h sur une semaine de 4 jours, il n'existe pas de recette magique. Plusieurs possibilités s'offrent à vous selon le secteur d'activité et les besoins de votre entreprise. Vous devrez prendre le temps de construire un mode de fonctionnement qui vous sera propre. Il pourra prendre en compte les impératifs et les spécificités de votre entreprise. Vous pourrez alors décider de mettre en place :
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un jour off précis ou non ;
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un planning roulant si nécessaire ;
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des jours de fermeture ;
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des binômes pour assurer une continuité de service ;
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etc.
Finalement, le plus gros risque serait de vous mettre des œillères sur une réalité évidente : les départs sont de plus en plus nombreux, les difficultés à recruter demeurent et les cas de burn-out en entreprise s'envolent ces dernières années.
Question N° 6 : comment savoir si ma structure est prête ?
Si vous souhaitez passer à la semaine de quatre jours, découvrez notre outil en ligne ! Vous répondez à plusieurs questions sur différentes thématiques. À l'issue du test, vous bénéficiez d'une notation pour évaluer à quel point votre entreprise est prête à travailler 4 jours par semaine.
Le fonctionnement actuel de la structure
Dès le début du test, vous répondez à une série de questions pour définir votre fonctionnement actuel et l'organisation du travail de vos salariés :
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Motivation principale pour instaurer la semaine de 4 jours.
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Durée du temps de travail pour la majorité des employés.
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Statuts, horaires et aménagements spécifiques pour les collaborateurs.
💡 Notre questionnaire reste compatible avec les activités qui s'organisent en 3x8, en 2x12 ou encore en horaires étendus.
L'amélioration de la qualité de vie au travail
Nous interrogeons votre entreprise pour connaître votre manière d'appréhender le changement et votre volonté de passer à la semaine de 4 jours. Nous nous intéressons également à l'ensemble des décisions que vous avez prises, liées à la qualité de vie au travail.
Parmi elles, vous trouverez :
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Votre engagement dans une politique RSE ou QSV.
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L'existence d'un aménagement du temps de travail.
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La mise en place d'outils pour veiller au bien-être de vos salariés.
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L'impact des mesures avec l'évolution sur les 12 derniers mois.
Les indicateurs RH
Enfin, l'item final porte sur les performances de votre entreprise et sur ses résultats. Nous vous demandons si, au cours des 12 derniers mois :
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vous avez facilement recruté de nouveaux profils ;
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votre CA a augmenté ;
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le taux d'absentéisme à évolué ;
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des cas de burn-out ont été recensés.
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Travailler 4 jours par semaine apporte beaucoup aux entreprises et aux salariés. Grâce à l'aménagement du temps de travail, les employés sont davantage impliqués dans une structure où il fait bon vivre et où leurs besoins sont compris. Ce qui ne semble pas évident l'est pourtant : avec la semaine de 32 h, vous gagnez ainsi en productivité et en performance ! Le seul risque serait finalement de ne pas essayer et de rester sur le modèle existant, sans prendre en considération les attentes de la nouvelle génération.